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                    Une nuit à l'infirmerie ... (par petitcochon)

Ron regrette bien maintenant de s'être amusé à retirer un rat mort de la gamelle de Norbert. Il est maintenant couché sur l'un des lits de l'infirmerie et s'ennuie ferme. Il est le seul dans le dortoir et n'arrive pas à s'endormir. La douleur de sa main s'est atténuée, mais surtout elle a perdu cette horrible couleur verte. La seule lumière qui lui parvient émane de la chambre ou madame Pomfresh fait sa garde. De nature curieuse, Ron se lève et se dirige vers la porte. Il s'agenouille et regarde par le trou de la serrure. Sur . Sur le lit de cette pièce, madame Pomfresh est couchée, habillé d'une nuisette rose pratiquement transparente et lit. Ron regarde avec assiduité la femme, elle est rondelette mais pas grosse, elle as des hanches bien pleines, un fessier bien rond, mais ce qui la caractérise la plus, c'est son énorme poitrine, avec des seins aussi gros que des ballons d'handballs. Madame Pomfresh pose sa lecture, et se met à glisser une mains entre ses cuisses. Elle se caresses quelques minutes, puis ramène sa main à sa bouche et se lèche ses doigts humides. Ron pose sa main endolorie sur le plat de la porte, tandis que l'autre descend son pyjama pour en sortir son sexe. Il commence à se masturber, l'oeil toujours collé sur le trou de serrure. Il s'appuie un peu trop sur la porte, et cette dernière s'ouvre sous son poids. Ron s'étale à l'entrer de la pièce. Madame Pomfresh se redresse mais ne cache en rien de son intimité. La femme voit ce que Ron enserre encore dans sa main valide, puis elle regarde l'autre main.
        Alors Ron! Tu n'es pas dans ton lit?
        Euh!
        Retournes dans ton lit, je vois ce que tu as.
        Euh! Oui, madame Pomfresh!
Ron retourne dans son lit, un peu honteux. Il voit madame Pomfresh s'approcher avec des outils de médication magique. Elle pose sa baguette sur la main meurtrie et prononce une formule magique, puis elle fait boire un liquide rouge un peu amère.
        Bon! Maintenant, je vais m'occuper de ton deuxième problème. Je vais te retire le pus.
Elle retire drap et couverture, puis baisse le pantalon de pyjama. John regarde madame Pomfresh mi-ravi, mi-craintif. Elle penche son visage sur le sexe encore vigoureux et le prend dans sa bouche. Elle commence alors une fellation experte. Ron lui caresse la chevelure, ravi d'une tel avidité. Il ne peut se retenir et crache son sperme dans la bouche de l'infirmière. Cette dernière avale consciencieusement la laitance, léchant de sa langue agile le sperme qui coule encore, puis elle se redresse.
        Alors, mon grand! ça t'as plus?
        Oui, madame.
        Regardes-moi dans les yeux quand je te parles, c'est pas mes seins qui vont te répondre!
        Oui, madame.
        Il te plaise, hein! Tu veux les toucher, Ron?
Les yeux de Ron se mettent à pétiller. Son regard se porte alternativement des yeux de madame Pomfresh à son opulente poitrine. Madame Pomfresh retire alors cette nuisette qui ne cache rien et s'assoit à coté de Ron. Ron ne dit toujours aucun mot.
        Vas-y! Tu en meurt d'envie.
Ron tend sa main valide et touche l'un des seins. Il sent sa fermeté, sa douceur sous ses doigts qu'il fait glisser sur le velouté de la peau. Il s'attarde sur l'auréole, titillant le mamelon avec son pouce. Il pose sa bouche sur le mamelon de l'autre seins, qu'il se met à téter. Ron s'arrête de caresser le sein avec sa main, et la fait glisser entre les cuisses de madame Pomfresh. Il fouille la toile pubienne puis s'immisce dans la vulve, enfonçant son majeur dans le vagin. Madame Pomfresh l'enlasse alors et glisse ses doigts dans ses cheveux roux. L'effet ne se fait pas attendre et la virilité de notre jeune héros se raidit une nouvelle fois. Madame Pomfresh le remarque.
        Bon, maintenant Ron, on va passer au chose sérieuse.
La femme se lève, et se couche en travers d'un des lit inoccupé, mettant sa vulve juste sur le rebord. Ron se relève de son lit, et s'approche. Il prend les jambes de la femme sous ses bras et présente sa virilité sur la toison épaisse. Puis il glisse et enfonce son sexe dans celui de madame Pomfresh. L'infirmière se mets à gémir de cette prospection lente et profonde. Ron coulisse dans le vagin humide. Durant de longues minutes Ron et madame Pomfresh jouissent aux rythmes des va et viens, pour qu'enfin, dans une râle de satisfaction, Ron se vide de son sperme dans l'utérus de la femme. Le garçon se retire satisfait, puis se dirige vers son lit.
         Attends, Ron!
        Oui, madame Pomfresh.
        Restes là, je vais chercher quelque chose.
Elle se lève du lit et se dirige vers la chambre de garde. Elle en reviens quelques instants plus tard avec une petite fiole dans la main qu'elle tend à Ron.
        Tiens! Bois ça.
Ron vide de son contenu la petite bouteille, puis il regarde madame Pomfresh.
        C'est quoi?
        Une macération de sang de dragon et de sperme de centaure.
        Mais qu'est-ce que ça va me faire?
        Regardes!
Ron suit la direction de l'index et regarde son sexe qui se durcit et se raidit.
        Avec ça Ron, tu en as pour la nuit.
        MM!
        Par veux-tu qu'on commence?
        Euh! Une branlette espagnole.
Madame Pomfresh s'installe sur le lit de Ron. Le jeune garçon s'assoit sur le ventre de la femme, il glisse son phallus entre les deux seins. Il initie un long mouvement, écrasant l'opulente poitrine sur son sexe. Après un quart d'heure de cette douce torture, Ron se vide de son liquide blanchâtre entre les deux seins.
Et les deux amants continuent ainsi toute la nuit, baisant comme des forcenée dans diverses positions. La levrette, ou Ron en profite pour malaxer les deux globes de chair. Puis la cavalière, la brouette et enfin la position du missionnaire.
L'aurore est proche. Madame Pomfresh se lève et rejoint la chambre de garde en ramassant sa nuisette. Ron remet son pyjama et se recouche dans son lit. Madame Pomfresh reviens habillé dans son uniforme d'infirmière.
        Ron, je croit que ta blessure n(est pas encore remise, il va falloir que tu restes encore une nuit ici.
        Avec plaisir, madame Pomfresh.
        Ron, quand nous sommes seuls, tu peux m'appeler Poppy.
        Bien ma... Poppy.
        Maintenant dors bien, car la nuit prochaine va encore être très longues.
        D'accord.
Ron s'endort rapidement. Mais durant la journée, il est réveillé la première fois par Draco Malefoy et la seconde par Harry et Hermione. Quand les vingt heures sonnent, Ron se réveille frais comme un gardon, pour passer une nuit bien pleine avec madame Pomfresh.