lemon

L’ingrédient (par Ali Hayn Kaat)

Tout avait commencé trois mois auparavant alors qu’Harry accompagnait Ron à la bibliothèque. Ron s’était plongé dans ses livres de magie pour réviser ses incantations. Harry, quant à lui, farfouillait les étagères à la recherche de documentation. Son attention fut attirée par un vieux manuscrit qui ne semblait pas être à sa place. Il l’ouvrit et un parchemin antédiluvien s’en échappa. Harry le ramassa et le parcourut des yeux. Son cœur s’emballa à sa lecture. Il contenait la formule d’une mystérieuse potion qui permettait à celui qui la buvait de défier les lois de la nature en invoquant et en matérialisant un fantôme. Il s’était aussitôt vu dans les bras de sa mère adorée, la serrant de toutes ses forces. Il avait recopié en cachette ce précieux document sur son cahier d’incantation avant de remettre le parchemin dans la doublure du livre. Il n’avait bien sûr souffle mot à personne de sa précieuse découverte. Les ingrédients de cette fabuleuse potion n’étaient pas faciles à trouver, mais avec l’aide de l’une ou de l’autre de ses connaissances, c’était faisable. Seul, le dernier ingrédient semblait être plus délicat à obtenir. Il lui faudrait payer de sa personne pour l'obtenir. Harry était maintenant allongé sur son lit à regarder fixement le plafond. Inhabituellement, un silence monacal régnait dans la chambrée. Malgré son immobilité, il bouillonnait en son for intérieur. Il passait et repassait sans cesse tous les détails de sa future expédition chez les filles. Il fallait absolument être très discret et surtout ne pas se faire prendre. Il se frotta machinalement le dessus du nez où se trouvaient les marques de ses lunettes. Cela faisait déjà près d’une bonne semaine que tout était fin prêt grâce à la complicité de Dobby mais il fallait encore attendre que les planètes soient dans le bon alignement. Une bonne conjonction astrale permettrait de décupler la puissance et l’efficacité de ce qu’il allait chercher. Hedwige hulula, déchirant le silence de la nuit. Harry se leva d’un bond et remit ses lunettes. Il sortit de sous son lit son sac à dos et sortit à pas de loup de la chambre en prenant bien garde à ne réveiller personne. Son cœur battait fort dans sa poitrine tandis qu’il longea le couloir et prit les escaliers le séparant de la section du dortoir des filles. Par chance, un lourd nuage sombre cachait en grande partie la lune et les rayons de l’astre de nuit ne diffusaient qu’une faible lueur à peine plus efficace que la flamme d’une bougie. Il ne rencontra personne durant son chemin. Il s’immobilisa devant la porte de la chambrée. Il resta un moment ainsi à réfléchir. Il était encore tôt pour changer d’avis mais sa volonté inébranlable et les pensées vers sa mère restèrent plus fortes que sa peur. Il déposa délicatement son sac à dos à terre et en sortit sa cape d’invisibilité et sa baguette magique. Il reprit son sac à dos puis se couvrit de sa cape. Ainsi vêtu il demeurerait invisible pour tout le restant de sa mission un peu « spéciale ». Il débloqua magiquement la porte puis l’ouvrit délicatement pour ne pas la faire grincer et entra à pas de loup. Il referma la porte et parcoura la pièce du regard. Il ne s’était pas trompé. Hermione dormait profondément dans son lit. Comme il l’avait prévu, les deux lits de par et d’autres du sien étaient inoccupés. Leurs occupantes avaient reçues chacune un mystérieux petit paquet d’un admirateur secret. La mixture à base d’écailles de dragon rouge et de racines de mandragore contenu dans les chocogrenouilles n’était pas mortelle. Tout au plus, provoquait-elle des troubles intestinaux qui disparaissaient au bout de 24 heures. Pauvre Ron ! Accusé à tort d’avoir fait cette blague de mauvais goût. Harry secoua la tête. Il trouverait bien un moyen de se faire pardonner. Il s’avança prudemment dans l’allée centrale. Son rythme cardiaque s’accéléra. Il s’approcha au pied du lit et prit sa baguette avant de murmurer entre ses lèvres : - « Lumos » Aussitôt l’extrémité de sa baguette projeta un rayon lumineux qui lui permit de voir ce qu’il faisait et d’opérer avec plus d’aisance. Il se concentra fortement : - « Wingardium Leviosa » La couverture frémit un court moment puis se mit à glisser lentement jusqu’au pied du lit. Il refit l’incantation pour remonter la chemise de nuit d’Hermione. Il se figea net en plein effort : la belle endormie ne portait pas de culotte. Malgré le clair de lune faiblard et le frêle éclat lumineux de sa baguette magique, Harry y voyait suffisamment pour s’émouvoir. Le sexe imberbe d’Hermione attirait toutes les convoitises des garçons de l’école. Comment rester insensible devant une telle beauté ? Il hésita un instant puis remuant les bras fit remonter la chemise par-dessus la poitrine d’Hermione. Il découvrit alors un petit trésor bien caché de la belle endormie. Hermione, la petite cachottière, avait un adorable petit grain de beauté à environ 10 centimètres au dessus du sein droit. Il écarquilla les yeux pour mieux voir. La poitrine juvénile montait et redescendait tout doucement au rythme d’une respiration lente et profonde. Les seins minuscules formaient comme deux petits monts Fuji auréolés par deux magnifiques petits tétons. Il avança la main vers cette poitrine magnifique mais se ravisa : il n’était pas là pour cela. Il prit délicatement les chevilles de la belle endormie et les écarta le plus qu’il put. Le clitoris se dévoila enfin dans toute sa splendeur. Ce petit bout de chair dépassant d’entre ses grandes lèvres semblait luire. Harry prit une profonde inspiration et s’avança sur le côté du lit. Il braqua sa baguette magique sur le pubis rebondi d’Hermione. La lumière rasante dévoila quelques minuscules poils à peine visibles. Troublé par ce spectacle, le petit magicien perdit tout notion du temps et resta prostré un temps indéfini à contempler la nudité d’Hermione. Un bruit venant de l’extérieur le sortit de sa torpeur. Il sortit de son sac une plume de Dodo et la posa sur le ventre de sa camarade. Il invoqua encore ses pouvoirs magiques. - « Wingardium Leviosa » La plume se redressa brusquement comme animée par une vie propre. Elle remonta doucement sur le ventre puis commença à tournoyer autour du sein gauche d’Hermione. Celle-ci bougea légèrement la tête mais ne se réveilla pas. La plume continua son chemin et s’attaqua au sein droit. Sous ce traitement, les tétons commencèrent à augmenter de volume et à durcir. La plume redescendit lentement et fit quelques allers-retours du bout de chaque pied jusqu’au ventre. Hermione esquissa un sourire dans son sommeil. La plume enchantée se dirigea vers le pubis qu’il agaça un peu avant de poursuivre son chemin à l’entrejambe et de s’attaquer aux grandes lèvres. La respiration d’Hermione s’accéléra. Hermione commençait à mouiller et son petit sexe luisant donnait mille idées perverses à Harry qui transpirait sous sa cape. De grosses perles de sueur se formaient sur son front et coulaient doucement le long de ses joues vermeilles. Sa respiration chaude et rapide embuait les verres de ses lunettes. La plume remonta un instant sur la poitrine juvénile puis redescendit avec une lenteur exaspérante vers le clitoris. Hermione s’agitait de plus en plus dans son lit. Elle balançait sa tête de droite à gauche. Elle entrouvrit la bouche pour respirer à pleins poumons et lancer de petits soupirs de plaisir. Arrachant un cri un peu plus fort que les autres, la plume se fraya un passage à l’intérieur du palais des merveilles. Les soupirs d’Hermione se firent plus bruyants et moins espacés. La plume effleurait, caressait, chatouillait, tripotait, cajolait, câlinait, dorlotait le petit clitoris de la belle Hermione. Elle passa sa langue sur ses lèvres. La plume s’arrêta et se mit à tourner sur elle-même puis entra brusquement dans le vagin. Elle ressortit lentement avant d’y retourner. Elle amorça un léger mouvement de va-et-vient. D’abord lentement, elle accéléra progressivement le mouvement jusqu’à en devenir presque insupportable. Hermione se crispa et ses mains vinrent s’agripper avec force sur les draps trempés de transpiration. Elle secouait sa tête violemment de gauche à droite. Soudain, elle s’arc bouta brusquement et jouit abondamment dans un long râle de plaisir. Elle s’affala sur son lit en souriant. Harry s’essuya le front et respira à plein nez le parfum imprégné de la plume. Il sortit de son sac un petit flacon et récupéra la mouille d’Hermione. Harry Potter soupira. Il caressa sa longue chevelure ondoyante et embrassa délicatement Hermione sur la bouche avant de s’éclipser dans sa chambre. Il avait enfin le dernier ingrédient pour sa potion : 3 gouttes d’amour d’une jeune vierge. FIN.